EVENE - Citation du Jour

samedi 16 janvier 2010

J'ai plus d'empathie pour...

" C'est comme ça. J'ai plus d'empathie pour le Serial alcoolique que pour le Serial médicamental. Tous les deux souffrent, tous les deux sont en dépression, certes. Mais le Serial alcoolique m'apparaît plus fragile, même si c'est une erreur de perception, même si mon propos est plein de contradictions... Le Serial alcoolique a besoin de sa dose quotidienne mais après tout, les clients du Prozac aussi ! Seulement les effets et les apparences sont différents : dire qu'on est mal et qu'on prend du Prozac est plus facile à passer dans les dîners ou au sein de la famille que dire qu'on est mal et qu'on doit boire. Je connais les deux, je veux dire les clients du Prozac et les alcooliques et même ceux qui parfois mélangent. Pour moi, c'est la même dépression qui se cache derrière. Une peur ! Une peur qui a pris ses racines il y a longtemps dans l'enfance. La peur immense d'être abandonné, de ne pas être aimé, d'être rejeté. Les clients du Prozac peuvent dire : "je suis malade, je fais une dépression". Les alcooliques chroniques ne peuvent plus le dire, ils ont dépassé le stade, ils sont dans ce besoin quotidien d'alcool qui les plongent dans cette ouate, cette atmosphère entre deux univers, entre ce qui est et un monde hors norme. Ils ne peuvent pas dire qu'ils sont malades ou si difficilement. Le regard de la société est intransigeant et culpabilisant. Alors oui, j'ai plus d'empathie pour le Serial alcoolique que pour le Serial médicamental. C'est comme ça, je me sens souvent plus proche du plus misérable car j'essaie de voir en lui son humanité, j'essaie d'imaginer son parcours pour en arriver là et même si je ne comprend pas toujours, j'essaie d'accepter ce qui est, sans juger.

Lautre je


http://lautreje.blogspot.com/

vendredi 15 janvier 2010

Moi qui me trouve ici en conséquence directe de l'œuvre de Martin Luther King, je suis la preuve vivante de la force morale de la non-violence. Je sais qu'il n'y a rien de faible, rien de passif, rien de naïf, dans le crédo et dans la vie de Gandhi et de Martin Luther King.

Président OBAMA

lundi 11 janvier 2010

EST OBSCENE, CE QUI BLESSE LA CONSCIENCE...

Je respecte trop l’intelligence et la dignité de mes contemporains, ainsi que les valeurs démocratiques et républicaines, pour accepter l’idée que l’on puisse développer quelque politique que ce soit par la peur !

La politique de santé publique en matière de lutte contre le tabagisme, est sensée générer une « peur salvatrice » par la publication, sur les paquets de cigarettes, de photographies de personnes atteintes de cancers à un stade avancé.

En fait, l’utilisation à des fins de propagande, de la misère humaine dans ce qu’elle a de plus intime, est une insulte à notre conscience.

Cette politique banalise l’horreur et outre-passe le droit fondamental à la protection de la vie privée de l’être victime de la maladie ; Elle fait de cette forme d’obscénité, une arme misérable au service d’un indigne simulacre de pédagogie.


The Ted révolté.

Un peu de légèreté et d'humour en ce début d'année...

... et très bonne année aux sonneurs de cornemuse de toutes les Bretagne et du monde entier !

dimanche 10 janvier 2010

Hello les amis ! 2010, une année politique et sociale avec des "si"...

Si les actualités, les évènements de ces derniers mois de 2009 et de ces dernières années ont profondément choqué votre sensibilité,
Si
vous refusez la violence infligée à votre intelligence endolorie,
Si
vous éprouvez un sentiment de révolte difficilement contenu,
Si
vous avez peur de votre propre violence...

Alors je vous souhaite de vivre cette année 2010 en citoyen militant et responsable, développant votre libre pensée et votre sens critique, faisant les choix en accord avec votre intelligence, en rejetant toute violence physique envers autrui, en respectant la démocratie et la laïcité...

Une
bonne année en somme pour vous et votre famille !...


The
Ted